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Sécurisez et Valorisez Vos Apports en Toute Confiance

Archipel, Votre Partenaire pour des Apports Transparents
Chez Archipel Lyon, nous savons que la constitution ou l’augmentation de capital est une étape stratégique pour votre entreprise. Nos services de commissariat aux apports garantissent une évaluation indépendante et rigoureuse de vos apports en nature, assurant une image fidèle et transparente pour tous les associés.

 

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Avec Archipel, vos apports sont évalués avec impartialité et précision, renforçant la confiance de vos partenaires

Notre Mission :

Protéger Vos Intérêts et Respecter les Obligations Légales

Le recours à un commissaire aux apports est essentiel pour assurer la sincérité des comptes lors de la création ou de l’augmentation de capital. Grâce à notre expertise, nous garantissons :

  • La conformité légale avec le code de commerce.
  • Une évaluation claire pour sécuriser les intérêts des parties prenantes.
Parlons-en

Pourquoi Choisir Archipel pour Votre Commissariat aux Apports ?

Indépendance garantie :

Une mission menée avec objectivité et impartialité.

Connaissance multisectorielle :

Une expertise adaptée à divers secteurs d’activité

Engagement et transparence :

Des méthodes d’évaluation claires et compréhensibles pour une situation financière fiable.

Notre Processus : Un Accompagnement Clair et Structuré

  • Étude préliminaire : Analyse des bilans comptables et des documents relatifs aux apports.
  • Inspection des actifs : Évaluation sur site si nécessaire pour garantir une image fidèle et précise.
  • Rapport d’expertise : Rédaction d’un rapport détaillé validant la valeur des apports selon les exigences du code de commerce.
  • Présentation des conclusions : Remise et explication du rapport aux parties concernées pour une totale transparence.
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Les Avantages pour Votre Entreprise : Une Base Solide pour Votre Capital

En choisissant Archipel, vous bénéficiez de :

  • Un rapport d’évaluation fiable qui sécurise la transaction pour toutes les parties.
  • La conformité totale aux obligations légales et réglementaires.
  • Une réputation renforcée grâce à la transparence et à l’intégrité de vos opérations.
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Nos Engagements : Sérieux, Rigueur et Transparence

Nous nous engageons à :

  • Respecter des délais stricts, pour que vos projets avancent sans retard.
  • Garantir la confidentialité totale de vos informations.
  • Offrir un service d’audit comptable et financier de qualité, avec un accompagnement personnalisé.
Notre rigueur à chaque étape garantit la fiabilité de votre opération d’apport.

Contactez Archipel : Sécurisez Vos Opérations de Capital

Nos experts en commissariat aux apports sont prêts à vous accompagner dans chaque étape et répondre à toutes vos questions.

Archipel Lyon, votre partenaire de confiance pour des opérations capitalistiques conformes, sécurisées et valorisées.

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Archipel et leur équipe vous accompagnent au quotidien.

Disponibles dans nos locaux, par téléphone, e-mail et visioconférence.

La comptabilité en ligne mais toujours humaine.

FAQ Archipel

Quelles sont les situations nécessitant un commissaire aux apports ?

Un commissaire aux apports est requis pour garantir la valeur réelle des apports en nature (biens, droits, actifs non monétaires) dans plusieurs situations spécifiques. Voici les principaux cas où son intervention est obligatoire :

  1. Création de société
    Lors de la constitution d’une société, si les associés apportent des biens en nature (comme des immeubles, machines ou brevets), un commissaire aux apports doit intervenir. Son rôle est d’évaluer ces biens afin de garantir une répartition équitable du capital social entre les associés. Cette évaluation assure également la sincérité des comptes et prévient les risques de surestimation ou sous-estimation des apports.
  2. Augmentation de capital
    Lorsqu’une société décide d’augmenter son capital social en intégrant de nouveaux apports en nature, l’intervention du commissaire est indispensable. Il procède à une expertise indépendante pour valider la valeur réelle des biens apportés. Cela permet de protéger les droits des actionnaires existants et de garantir une image fidèle des apports.
  3. Fusion ou scission
    Lors d’opérations de fusion (regroupement de sociétés) ou de scission (division d’une société), des actifs peuvent être transférés d’une entité à une autre. Le commissaire aux apports est chargé d’évaluer ces actifs pour garantir l’équité entre les différentes parties. Cette étape est cruciale pour sécuriser la transaction et assurer la transparence de l’opération.
  4. Exemptions possibles
    Dans certaines SAS et SARL, une exemption peut être accordée sous conditions :
  • Si la valeur des apports en nature est inférieure à un seuil légal fixé par la loi.
  • Si les associés prennent la décision à l’unanimité de ne pas recourir à un commissaire aux apports.

Ces exceptions permettent de simplifier les démarches dans des situations où les apports sont limités ou peu complexes.

Combien de temps dure un commissariat aux apports ?

La durée d’une mission de commissariat aux apports dépend de plusieurs facteurs, comme la complexité des apports, la disponibilité des documents et la réactivité des parties concernées. Voici les principaux éléments à considérer :

1. Apports simples
Pour des apports en nature classiques, comme des biens matériels (machines, mobilier) ou des biens immobiliers, la mission est généralement rapide. Lorsque tous les documents requis sont fournis et que l’évaluation est standard, le commissaire aux apports peut finaliser son rapport en quelques jours.

Exemple : Un immeuble ou une machine industrielle avec justificatifs de propriété et bilans comptables simplifie l’évaluation et permet une conclusion rapide.

2. Apports complexes
Pour des apports plus spécifiques, comme des brevets, des fonds de commerce ou des actifs immatériels, la mission prend davantage de temps. Ces biens nécessitent des expertises approfondies, des analyses techniques ou des consultations externes pour garantir une évaluation précise. Cela peut prolonger le processus à plusieurs semaines.

Exemple : Un brevet en cours d’exploitation ou un fonds de commerce avec une activité variable exige des analyses supplémentaires pour déterminer la valeur réelle.

3. Facteurs influençant la durée
Plusieurs éléments peuvent impacter le délai d’une mission de commissariat aux apports :

  • Disponibilité des documents : La réactivité des apporteurs, dirigeants ou associés pour fournir les justificatifs (titres de propriété, bilans, rapports financiers) est essentielle.
  • Nature des apports : Des biens complexes ou présentant une valeur fluctuante demandent des évaluations supplémentaires.
  • Consultations externes : Certains biens nécessitent l’intervention d’experts techniques pour valider leur valeur, ce qui peut allonger les délais.

4. Respect des délais légaux
Le commissaire aux apports doit respecter les échéances légales pour remettre son rapport avant la clôture de l’opération. Ce rapport est indispensable pour valider une augmentation de capital ou la création de société et garantir la conformité avec le code de commerce.

Exemple : Le rapport doit être déposé en temps et en heure pour permettre la formalisation de l’opération auprès des autorités compétentes.

5. Durée moyenne
La mission peut durer :

  • Quelques jours pour des apports simples avec des documents complets.
  • Plusieurs semaines pour des apports complexes nécessitant des analyses spécifiques.

La durée reste étroitement liée à la qualité des informations fournies et à la collaboration entre les parties.

Le commissariat aux apports est-il obligatoire pour toutes les sociétés ?

Non, la désignation d’un commissaire aux apports dépend du type de société et des caractéristiques des apports en nature. Voici les principales règles à connaître :

1. SARL
La désignation d’un commissaire aux apports est obligatoire si :

  • Les apports en nature dépassent 30 000 € ;
  • Un apport en nature représente plus de la moitié du capital social.

Dans les autres cas, les associés peuvent décider de ne pas recourir à un commissaire, sous réserve d’un accord unanime. Cette règle, prévue par le code de commerce, simplifie la procédure pour les sociétés à apports limités.

2. SAS
Dans une SAS, la nomination d’un commissaire est facultative sous deux conditions cumulatives :

  • Les seuils de 30 000 € ou de moitié du capital social sont respectés ;
  • Les associés approuvent cette décision à l’unanimité.

Si l’une de ces conditions n’est pas remplie, l’intervention d’un commissaire devient obligatoire afin d’assurer la sincérité des comptes et une image fidèle des apports.

3. SA
Dans une société anonyme (SA), la désignation d’un commissaire aux apports est toujours obligatoire, quelle que soit la valeur ou la nature des biens apportés. Cette exigence garantit une évaluation fiable et indépendante des apports, protégeant ainsi les actionnaires et les tiers concernés.

4. Autres sociétés
Pour d’autres formes de sociétés, comme les sociétés civiles ou les sociétés en nom collectif (SNC), la nomination d’un commissaire aux apports est rarement obligatoire. Cependant, les statuts ou des dispositions spécifiques de la loi peuvent prévoir cette exigence.

Quels sont les risques si un commissariat aux apports n’est pas réalisé ?

Les conséquences du non-recours à un commissaire aux apports, lorsque cela est obligatoire, peuvent être importantes et se manifester sur les plans juridique et financier :

1. Conséquences juridiques

  • Nullité des apports : Si les apports ne sont pas validés par un commissaire, leur intégration dans le capital social peut être annulée.
  • Annulation des décisions : Les actes juridiques, comme la création de la société ou une augmentation de capital, peuvent être invalidés.
  • Sanctions légales : En cas de fausses déclarations ou d’absence de contrôle, des sanctions civiles ou pénales peuvent être appliquées aux dirigeants et aux associés.

2. Conséquences financières

  • Surestimation ou sous-évaluation des apports : Cela peut déséquilibrer la répartition des droits entre associés, entraînant des conflits internes.
  • Dilution des droits : Une mauvaise évaluation peut léser certains associés ou actionnaires en altérant leur part réelle dans le capital.
  • Perte de crédibilité : Le non-respect des obligations légales peut affecter la confiance des tiers, comme les investisseurs ou les partenaires financiers.

3. Risques globaux pour la société

Le non-respect de cette obligation peut engendrer des litiges internes, compliquer les relations avec les tiers et, dans les cas graves, mettre en péril la viabilité de l’entreprise. Il est donc essentiel de s’assurer que toutes les démarches sont conformes aux exigences légales.

Quels documents sont nécessaires pour la mission d’un commissaire aux apports ?

Pour qu’un commissaire aux apports puisse mener à bien sa mission, certains documents sont indispensables. Ces éléments permettent d’assurer la conformité de l’opération et de garantir une évaluation précise des apports en nature. Voici les principaux :

  1. Les statuts de la société : Ils décrivent la structure et le fonctionnement de la société, précisant la répartition du capital et la nature des apports. Ces informations sont cruciales pour le commissaire, qui doit vérifier que les apports sont intégrés dans le respect des obligations légales.
  2. Une liste des apports en nature : Les apports doivent être détaillés avec précision. Par exemple :
    • Pour des biens matériels, tels que des machines ou véhicules, fournir des factures ou certificats de propriété.
    • Pour des actifs immatériels, comme des brevets ou marques, inclure des évaluations ou documents attestant leur valeur.
  3. Les justificatifs de propriété : Ils permettent de prouver que les apporteurs possèdent les biens en question. Cela peut inclure des actes notariés ou des titres de propriété pour des biens immobiliers.
  4. Les bilans ou rapports financiers : Dans le cadre d’un apport de fonds de commerce ou d’autres actifs complexes, les bilans des exercices passés sont souvent nécessaires pour établir une évaluation correcte.
  5. Documents complémentaires : Certains cas peuvent nécessiter des expertises spécifiques, comme pour des apports dépassant un seuil important ou présentant une nature complexe.

La qualité et la complétude des documents influencent directement le travail du commissaire, sa capacité à respecter les délais légaux, et la sincérité de son rapport. Une bonne préparation garantit une opération fluide et sécurisée.

Quel est le coût de la mission d’un commissaire aux apports ?

Le coût de la mission d’un commissaire aux apports dépend de plusieurs facteurs. Cette mission, bien que ponctuelle, est essentielle pour assurer la régularité et la fiabilité des opérations impliquant des apports en nature. Voici les principaux critères :

  1. Nature et complexité des apports :
    • Pour des apports simples, comme du mobilier ou des biens immobiliers, le coût est souvent limité. Ces cas impliquent peu de recherches ou d’expertises spécifiques.
    • En revanche, les apports complexes, tels que des brevets, des fonds de commerce ou des actifs immatériels, nécessitent une analyse approfondie. Des évaluations par des experts externes peuvent être nécessaires, augmentant les frais.
  2. Volume des apports :
    • Plus le nombre d’apports ou leur valeur est élevé, plus le temps de traitement est conséquent, ce qui peut impacter les honoraires.
  3. Honoraires pratiqués :
    • Les honoraires varient selon le cabinet choisi et la région. À Lyon, les coûts peuvent être influencés par la demande locale et la complexité des dossiers.
  4. Délais impartis :
    • Une mission réalisée en urgence peut entraîner un surcoût, car elle mobilise des ressources supplémentaires.

En moyenne, une mission de commissariat aux apports peut coûter entre quelques centaines et plusieurs milliers d’euros, en fonction des critères évoqués.

Chez Archipel Lyon, nous proposons des services adaptés à chaque type d’apport. Nos honoraires sont transparents et compétitifs, garantissant un accompagnement professionnel pour chaque opération. Contactez-nous pour un devis sur-mesure.

Quelles sont les différences entre un commissaire aux apports et un expert-comptable ?

Le rôle d’un commissaire aux apports diffère de celui d’un expert-comptable, bien qu’ils interviennent parfois sur des opérations liées à la gestion d’une société. Voici les distinctions principales :

  1. Rôle du commissaire aux apports :
    • Il intervient pour des opérations spécifiques, comme une augmentation de capital ou une création de société avec des apports en nature.
    • Sa mission est d’assurer la sincérité des apports et leur intégration dans le capital social dans le respect des obligations légales.
    • Le commissaire est désigné de manière indépendante et agit en tant que tiers neutre.
  2. Rôle de l’expert-comptable :
    • Il accompagne les entreprises sur le long terme, assurant la tenue des comptes, le suivi des résultats financiers et la préparation des bilans annuels.
    • L’expert-comptable joue également un rôle de conseil, notamment en matière de stratégie fiscale, sociale ou de gestion financière.
  3. Différences dans les missions :
    • Le commissaire aux apports agit ponctuellement dans des contextes précis pour sécuriser des opérations spécifiques.
    • L’expert-comptable est un partenaire continu pour la gestion financière et comptable de l’entreprise, offrant une vision globale et un accompagnement stratégique.

Ces deux professions sont complémentaires. Une entreprise peut avoir besoin des deux dans des contextes différents, notamment lors de la création, de la croissance ou de la restructuration.