Ça use vraiment de courir après l’argent et on a toujours peur de braquer un bon partenaire en faisant sa relance client au mauvais moment ou avec le mauvais ton. On voit ici comment Archipel gère ce sale boulot à votre place avec une méthode carrée qui fait enfin rentrer la trésorerie qui dort sans jamais casser la confiance. Vous allez découvrir le système précis pour récupérer jusqu’à 40 % de vos fonds en attente tout en restant le partenaire commercial sympa que tout le monde aime.
- La relance client : un mal nécessaire qui vous coûte cher
- La méthode Archipel : un processus chirurgical pour préserver vos relations
- Le secret : externaliser pour mieux préserver la relation
- Bâtir une stratégie de relance intelligente et automatisée
- Quand l’amiable ne suffit plus : les étapes suivantes
La relance client : un mal nécessaire qui vous coûte cher
Le vrai coût des factures en attente : bien plus qu’un trou dans la caisse
Une facture qui traîne, ce n’est pas juste un manque à gagner temporaire. C’est surtout du temps perdu à courir après vos fonds et du stress inutile. Vous détournez votre énergie de votre vraie mission : faire grandir votre boîte.
Ce retard crée un effet domino terrible sur votre trésorerie. Les chiffres ne mentent pas : les retards de paiement ont coûté 19 milliards d’euros aux PME en 2018.
Soyons honnêtes, personne n’aime réclamer de l’argent. On a peur de passer pour le méchant et d’abîmer une relation commerciale qu’on a mis des mois à bâtir. C’est une tâche ingrate. Voir le coût réel des retards.
Pourquoi les méthodes de relance classiques se heurtent à un mur
Le problème, c’est l’approche. On envoie un mail standard qui finit aux oubliettes, ou alors on s’énerve trop vite. Ça manque de tact et ça tombe souvent au pire moment.
C’est un jeu dangereux. Être trop sec risque de braquer un bon client qui a juste oublié. Être trop gentil ? Ça laisse croire que le paiement est optionnel. Dans les deux cas, vous perdez.
Une relance qui marche, ça ne s’improvise pas le vendredi soir. C’est une vraie stratégie qui se prépare bien avant l’échéance.
Au fond, la question n’est pas de savoir s’il faut relancer. Tout l’enjeu, c’est de savoir comment le faire intelligemment.
La méthode Archipel : un processus chirurgical pour préserver vos relations
Oubliez les relances au petit bonheur la chance. Une approche structurée change tout.
Un calendrier de relance qui ne laisse rien au hasard
Une bonne relance, c’est avant tout une question de timing et de progressivité. Archipel ne suit pas son instinct mais un calendrier strict, où chaque action vise juste. Rien n’est laissé au hasard.
On ne harcèle pas. On communique de façon cohérente et professionnelle.
Regardez le tableau ci-dessous. Il résume la méthode Archipel, une séquence en quatre temps pour maximiser vos encaissements sans jamais braquer le client.
Les 4 étapes clés de la relance client selon Archipel
Ce processus a fait ses preuves pour réduire drastiquement les impayés. C’est factuel.
| Étape | Délai | Canal | Objectif & Ton |
|---|---|---|---|
| Relance préventive | J-5 avant échéance | Éviter l’oubli. Ton 100% amical et proactif. (60% des paiements obtenus ici). | |
| Relance amicale | J+5 après échéance | Email + facture | Obtenir le paiement ou identifier un problème. Ton courtois mais clair. |
| Relance ferme | J+15 après échéance | Appel téléphonique | Comprendre le blocage et trouver une solution. Ton direct et respectueux. (80% des blocages résolus). |
| Mise en demeure | J+30 après échéance | Lettre recommandée avec AR | Formaliser la dette et préparer un éventuel contentieux. Ton formel et légal. |
L’escalade est logique. On passe doucement de la prévention à la fermeté, en restant toujours dans les clous professionnels.
Cette méthode structurée règle la majorité des cas sans conflit ouvert. Pensez d’ailleurs à toujours joindre la facture pour éviter les excuses bidons.
Le secret : externaliser pour mieux préserver la relation
Le pouvoir de la neutralité : le tiers de confiance qui change tout
C’est un levier psychologique immédiat. Quand la relance est faite par un tiers comme Archipel, elle est immédiatement dépersonnalisée. Ce n’est plus « vous » qui réclamez de l’argent à votre client, mais un expert externe qui gère un dossier administratif standard.
Ça transforme tout. On évite la confrontation directe pour entrer dans une discussion constructive. Le client se trouve face à un professionnel dont le métier est de trouver des solutions, pas de juger ses difficultés.
Cette distance protège votre relation commerciale. Vous restez le partenaire business sympa, pas le créancier insistant qui harcèle pour un virement.
Concentrez-vous sur votre business, on s’occupe du reste
L’assistance administrative externalisée sert exactement à ça. Le but est simple : vous libérer enfin des tâches chronophages et à faible valeur ajoutée pour que vous puissiez vous concentrer uniquement sur votre cœur de métier.
C’est la philosophie du full service proposé par Archipel à Lyon. On prend tout en charge.
- Gain de temps massif : plus d’heures perdues à suivre les paiements.
- Trésorerie sécurisée : une réduction prouvée des impayés de 30 à 40%.
- Relation client intacte : vous gardez le bon rôle, on endosse le rôle administratif.
- Expertise et conformité : des relances menées dans les règles de l’art, jusqu’à la mise en demeure si besoin.
Déléguer n’est pas un aveu de faiblesse. C’est une décision stratégique indispensable pour la croissance de son entreprise. Vous choisissez la performance plutôt que la gestion de la paperasse.
Bâtir une stratégie de relance intelligente et automatisée
Externaliser est une option puissante, mais que vous le fassiez vous-même ou non, votre stratégie peut être grandement améliorée par les bons outils.
L’automatisation : votre meilleure alliée pour une relance sans effort
Suivre manuellement chaque facture est une recette pour l’échec. Vous perdez du temps et l’argent file entre vos doigts. Les outils modernes permettent de programmer des séquences de relance.
Des plateformes comme Pennylane intègrent cette fonctionnalité nativement. L’idée est simple : on paramètre et on oublie, tout en gardant un contrôle total sur le processus. C’est ça, trouver du temps pour l’essentiel.
Le gain est double pour votre structure. Aucune facture ne passe entre les mailles du filet. Surtout, la régularité des relances renforce votre professionnalisme auprès de vos partenaires.
Automatiser oui, déshumaniser non
Attention au piège classique de l’automatisation : les messages froids et génériques. Rien de pire pour briser la confiance. L’efficacité repose sur la personnalisation, sinon vous perdez le contact humain.
Il faut savoir comment faire pour éviter ça. Utiliser les variables comme le nom ou le montant est un minimum. Le vrai plus est d’adapter le ton des modèles de message en fonction du profil du client.
- Clés d’une automatisation réussie :
- Segmentation client : ne pas relancer un grand compte historique comme un nouveau client.
- Messages personnalisés : utiliser les données disponibles pour rendre le message pertinent.
- Alertes intelligentes : savoir quand l’automatisation doit s’arrêter pour laisser place à une intervention humaine.
Quand l’amiable ne suffit plus : les étapes suivantes
Malgré une stratégie bien rodée, certains paiements se feront toujours attendre. Voici comment gérer la situation sans perdre pied.
La mise en demeure : le dernier avertissement formel
On ne joue plus. La mise en demeure marque un tournant décisif dans le recouvrement. Ce n’est pas une simple relance, mais un véritable acte juridique qui constate officiellement le retard de paiement. C’est le dernier rempart avant une procédure judiciaire.
Son utilité est immédiate. Elle fait courir les pénalités de retard prévues au contrat. C’est aussi une preuve indispensable pour montrer votre bonne foi si le dossier doit aller au tribunal.
Même à ce stade, le professionnalisme est de mise. La lettre doit rester factuelle, précise et être envoyée en recommandé avec accusé de réception. L’émotion n’a pas sa place ici, seule la rigueur compte.
Le résultat : une trésorerie saine et des clients qui vous respectent
Il faut voir plus loin que la facture. Une bonne gestion des relances n’est pas seulement défensive, c’est une stratégie de croissance. Vous reprenez le contrôle sur votre business.
L’impact est direct sur vos comptes. On constate une baisse de -30 à -40% d’impayés grâce à la méthode Archipel.
Au final, vous gagnez sur tous les tableaux :
- Plus de cash disponible pour investir et développer.
- Plus de temps pour vous et vos équipes.
- Moins de stress et de conflits potentiels.
- Une image de professionnalisme renforcée auprès de vos clients.
Une gestion rigoureuse des paiements est une marque de respect, pour votre travail et pour vos clients. C’est la base d’une relation commerciale durable et saine. Vous posez les limites, ils les respectent.
Fini de courir après l’argent. On arrête le stress des factures des factures en retard. On laisse faire les pros. Archipel gère le truc. C’est carré. L’argent rentre et la trésorerie respire. Les clients restent sympas, personne ne se fâche. On gagne du temps, on gagne de l’argent. C’est simple. Tout roule enfin.
FAQ
Quel message envoyer pour une relance efficace ?
Tout dépend du moment. Au début c’est léger. On parle d’oubli. On reste sympa. Plus tard le ton durcit. Il devient ferme. Il faut adapter le message au client. C’est la base.
Comment s’y prendre pour relancer un client ?
Il faut de la méthode. On ne fait pas ça au hasard. Archipel utilise quatre étapes. Ça commence avant l’échéance. Ça finit par la mise en demeure. C’est un processus carré.
L’idéal c’est de mixer les canaux. Le mail pour commencer. Le téléphone pour comprendre. Le courrier pour officialiser. Chaque outil a son rôle.
Quels sont les délais à respecter pour relancer ?
Le timing c’est de l’argent. On commence à J-5. C’est de la prévention. On rappelle à J+5. C’est l’amicale. On appelle à J+15. C’est le ferme.
Si ça ne bouge pas on passe à J+30. C’est la mise en demeure. Il ne faut pas laisser traîner. Les retards coûtent cher.
Est-ce une bonne idée de relancer par mail ?
C’est pratique pour le début. Ça laisse une trace écrite. On peut automatiser avec des outils. Pennylane fait ça très bien. On gagne du temps.
Mais attention aux limites. Le mail peut être ignoré. Parfois il faut décrocher le téléphone. Le contact direct débloque souvent la situation.
Comment relancer sans risquer de braquer le client ?
Le truc c’est d’externaliser. On passe par un tiers de confiance. Comme Archipel. Ce n’est plus vous qui réclamez. Ça change tout.
La relation reste intacte. Le tiers gère l’administratif. Vous restez le partenaire business. On évite le conflit direct. C’est psychologique.
Quelle est la façon de demander poliment un suivi ?
On joue la carte de la bienveillance. On suppose que c’est un oubli. On demande si tout va bien. On renvoie la facture en pièce jointe.
Le ton reste courtois. On propose des solutions. On cherche à comprendre. On ne juge pas. Ça marche souvent très bien.
Qu’est-ce qui fait une bonne relance ?
Une bonne relance est préparée. Elle est personnalisée. Elle arrive au bon moment. Elle n’est pas agressive gratuitement. Elle cherche le résultat.
Elle combine l’humain et la tech. Elle utilise les bonnes infos. Elle respecte le client. Elle fait rentrer le cash. C’est ça l’objectif.
Comment rédiger un rappel gentil par mail ?
On reste simple. On rappelle la date. On donne le montant. On demande de vérifier. On utilise des formules douces.
On évite les majuscules. On évite les points d’exclamation. On reste pro. On montre qu’on est là pour aider. Le client apprécie.